Ouyahia remplace Tebboune

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Nabil Yahiaoui, porte-parole de TAJ (parti de Amar Ghoul) : « Notre parti félicite M. Ouyahia pour cette nomination et cet honneur accordé par le Président. Ahmed Ouyahia fait partie des cadres compétents de la République. Il est capable d’assumer les responsabilités. D’ailleurs il a assumé cette mission à plusieurs reprises. C’est donc la personne idéale pour cette fonction surtout par rapport aux défis auxquels fait face le pays. TAJ exprime sa disponibilité à continuer à travailler ensemble au sein du gouvernement pour exécuter le programme du Président ».

Abdelaziz Ziari, ancien président de l’APN et ancien ministre FLN : « Ce n’est pas la première fois que je le dis : Ahmed Ouyahia est l’homme le mieux placé (pour le poste, NDLR). Il a les qualités et les capacités pour gérer la situation dans laquelle nous sommes et pour faire face aux difficultés que nous rencontrons actuellement sur le plan économique et social. À mon avis, c’est un choix qu’on aurait pu déjà faire il y a deux ou trois ans »

Yassine Aissaouene, chargé de communication du RCD : « (Ce changement) témoigne de l’anarchie généralisée qui règne au sommet de l’Etat. Nous avons déjà vécu cela avec un ministre de 24 heures. Ce qui est valable aujourd’hui ne l’est plus demain avec un système comme le nôtre. Il n’y a pas de cap. Ils sont dans le flou total. Je vous rappelle que nous avons été l’un des rares partis politiques, pour ne pas dire le seul parti, à avoir dit dès le départ que Tebboune n’avait aucun pouvoir et que tous les pouvoirs sont concentrés entre les mains du chef de l’État. Ce revirement de dernière minute en est la preuve. Pour ce qui est du choix du nouveau Premier ministre Ahmed Ouyahia est connu comme étant un serviteur zélé du régime et l’homme des sales besognes ».

Seddik Chihab, porte-parole du RND : « Ce changement est salutaire dès lors que la démarche de son prédécesseur a atteint très vite ses limites ». « Pour ce qui est du poste, il le connaît très bien pour l’avoir occupé à plusieurs reprises. Il connait les difficultés auxquelles il doit faire face. Il connaît très bien la situation du pays. Il est imprégné des enjeux à la fois économiques et sociaux. Il est également imprégné des enjeux régionaux et internationaux. Donc c’est par devoir qu’il a répondu à l’appel ».


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