Le Snategs tient son sit-in



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A Alger, la police s’était déployée en force sur les places publiques pour empêcher un autre rassemblement auquel a appelé le Syndicat autonome des travailleurs de l’électricité et du gaz (Snategs) pour dénoncer les conséquences de la loi de finances 2018. «Nous avons pu nous rassembler durant dix minutes à 11h devant la Grande-Poste, avant que la police ne nous charge et nous transfère, qui à Blida, qui à Boumerdès, qui à Meftah, comme moi. Il y avait à notre rassemblement des adhérents du Snategs, des syndicalistes du Snapap, affiliés à la CGATA, mais aussi des libres de l’UGTA. Tous nos rassemblements, pas seulement à Alger, ont été empêchés», s’indigne le président du syndicat autonome, Raouf Mellal. Porte-parole de la Fédération éducation du Snapap, Nabil Ferguenis s’indigne contre les atteintes aux libertés syndicales. «Des femmes du Snapap ont été arrêtées. Elles viennent d’être relâchées. C’est grave ce qui se passe dans notre pays. Alger est toujours interdite pour nous les Algériens», s’offusque M. Ferguenis. Le syndicat autonome du groupe Sonelgaz, dont la dissolution «volontaire» a été annoncée par le ministère du Travail, ne s’avoue pas vaincu. «Nous allons élargir notre action à d’autres organisations de la société civile. Nous ne quitterons plus jamais Alger. Notre réunion d’aujourd’hui (hier soir) permettra de tracer notre prochaine feuille de route», souligne M. Mellal.


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