On vous le dit



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Les «deux» des «22»… Il ne reste plus que deux survivants de la liste des 22 membres qui ont été à l’origine du déclenchement de la lutte armée, décidée suite à une réunion tenue en juillet 1954 à Clos Salembier. Certains médias ont annoncé, par ignorance, que Benaouda Amar, qui nous a quittés il y a quelques jours, était le dernier membre de la liste. Or, comme écrit précédemment, il en reste deux, que Dieu leur prête une longue vie. Il s’agit de Lamoudi Abdelkader et de Athmane Belouizdad, frère cadet de Mohamed Belouizdad, décédé en 1952 suite à une longue maladie. Les deux survivants, qui ont préféré le silence aux feux de la rampe, n’apparaissent pas en public, ni dans les médias, c’est ce qui a peut-être dérouté certains moyens… d’information. Décès du principal donateur de l’Eglise bulgare Un mendiant et plus généreux donateur de l’Eglise bulgare, Grand-père Dobri, chéri par de nombreux fidèles, est décédé hier à l’âge de 103 ans, a annoncé l’Eglise orthodoxe. Grand-père Dobri Dobrev, dont le prénom et le nom viennent du mot «bonté» et que beaucoup de Bulgares qualifiaient de «saint», s’était consacré depuis des décennies à recueillir de l’argent pour la rénovation des églises. Longue barbe blanche, éternellement vêtu d’un manteau noir raccommodé, il mendiait notamment dans la grande cathédrale de Sofia, Alexandre Nevski, à laquelle il avait donné plus de 40 000 leva (20 000 euros). Plusieurs monastères et églises du pays avaient confirmé avoir reçu des sommes allant de 2 500 à 10 000 euros chacun. Dans son pays, où la corruption est un phénomène endémique, Grand-père Dobri a acquis sa popularité grâce aux médias et aux réseaux sociaux, qui rendaient hommage à son désintéressement. Son portrait portant un cierge, œuvre de graffiteurs, orne le mur d’un bâtiment de dix étages dans l’est de Sofia. Des admirateurs proposent sa canonisation. Les enseignants protestent contre l’insécurité Les enseignants de l’université Akli Mohand Oulhadj de Bouira, affiliés au syndicat du Cnes, ont organisé, hier, une marche de protestation dans l’enceinte de l’université pour dénoncer l’insécurité qui règne dans le campus universitaire. «Ce problème ne date pas d’hier. Il y a eu plusieurs exactions et actes de violences dans le passé et qui continuent à sévir. Nous avions déjà organisé des marches de protestation l’année écoulée. Malheureusement, rien n’a changé depuis. Nous dénonçons aussi la fuite en avant de nos responsables. La marche d’aujourd’hui est aussi une adhésion à l’appel de l’Intersyndicale qui a appelé à une grève pour garantir le droit syndical», dira Youcef Outafat, président de la section syndicale du Cnes à l’université de Bouira. Selon notre interlocuteur, une moyenne de 2 agressions contre notamment des enseignantes sont enregistrées chaque mois. «Récemment, un étudiant a été poignardé par un extra dans l’enceinte universitaire. Nous gardons toujours les séquelles de ces violences qui n’ont aucune relation avec les traditions de l’université algérienne», déplore-t-il. A la fin de leur marche, les syndicalistes ont lancé un appel au dialogue. «Nos responsables doivent prendre les choses en main et trouver des solutions réelles à nos doléances. Nous appelons à un débat sérieux qui réunira toutes les forces vives et les forces de l’université pour asseoir de vraies assises et lutter contre le mal de la violence qui ronge l’université Akli Mohand Oulhadj.»


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