La Réponse d’Algérie Part au sénateur et businessman Boudjabeur Khaled



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Suite à aux révélations d’Algérie Part concernant les affaires du Boudjabeur Khaled, sénateur, membre du conseil de la nation et représentant du FLN pour la wilaya de Tébessa, une personnalité politique influente citée dans une affaire d’escroquerie comme il a été démontré par les documents publiés précédemment par nos soins, nous avons reçu une mise au point adressée par sa société de gardiennage. Nous publions intégralement cette mise au point comme le dicte la déontologie de notre métier. Mais nous lui réservons aussi une réponse très précise pour défendre notre travail d’investigation. 

“EL AMINE GARD est une société de gardiennage de renom, elle a été créée en 2008 avec un effectif global dépassant les 11.000 employés et qui ont toujours été payés bien que notre pays vie une conjoncture économique très difficile.

Monsieur BOUDJABEUR Khaled Sénateur FLN et actionnaire majoritaire de la Sarl EL AMINE GARD est avant tout un homme intègre, respectable et surtout très correct. Monsieur GERARD LAMBRET n’a jamais rencontré Monsieur BOUDJABEUR en personne, il s’est juste entretenu avec le Gérant de la Sarl EL AMINE GARD pour une proposition de ses services sur l’obtention d’une certification ISO et qu’il devait nous établir dans un délai ne dépassant pas les 30 jours avec un cout global d’un millions deux cent mille Dinars Algériens en TTC.

Une fois le diagnostic terminé et voyant qu’il ne pouvait pas nous l’établir comme il a été convenu initialement, on reçoit un courrier de la part de la Sarl SOCIAD nous annonçant un accompagnement de 54 jours facturable à 70.000.00 DA par jour soit trois millions sept cent quatre-vingt mille Dinard Algériens 3 780.000.00 DA pour pouvoir espérer à la certification ISO, chose qui n’a jamais été conclue avant le démarrage du diagnostic. La Sarl EL AMINE GARD a refusée catégoriquement a ce plier à ce nouveau revers de situation tout en demandant au gérant de SOCIAD de revenir à son offre initiale qui était de un millions deux cent mille Dinars Algériens en TTC.

A notre grand étonnement, un article émanant de votre organe est apparu sur les réseaux sociaux nuisant à l’intégrité en la personne de monsieur BOUDJABEUR Khaled qui n’a aucun lien dans l’affaire EL AMINE GARD vs SOCIAD. Aussi nous vous signalons qu’un organe comme le vôtre doit jouir de professionnalisme et de vérifier l’authenticité de ses sources d’information ainsi que sa véracité et surtout d’être équitable et neutre avant de publier un article comme vous l’aviez fait en s’attaquant avec acharnement en la personne de monsieur BOUDJABEUR Khaled .

Salutations, Samy BENMADI Assistant du PDG Chef Département Logistique Direction Générale”

La réponse d’Algérie Part : 

Au moment où la société El Amine Gard parle de professionnalisme et d’authenticité de l’information, nous avons constaté que plusieurs mensonges ont été proférés dans sa mise au point. Nous rappelons, d’abord, que nous avons publié des documents “authentiques” dans lesquels il est clairement mentionné que le cabinet d’études SOCIAD Algérie adresse plusieurs mises en demeure avant action en justice à l’entreprise appartenant au sénateur Boudjabeur Khaled. Cette entreprise a refusé de s’acquitter du montant exigé par le bureau d’études privé à la suite de ses prestations d’un diagnostic qualité.

Ce dernier a bel et bien rencontré monsieur Gérard Lambert, le directeur du cabinet Sociad Algérie. Et ce n’est pas Algérie Part qui l’affirme comme l’indique le démenti de la Sarl El Amine Gard. C’est Gérard Lambert qui nous confirme les faits lorsqu’il a été contacté par nos soins. “J’ai rencontré personnellement le sénateur dans son bureau au sein de l’entreprise et il y avait des témoins extérieurs à l’entreprise”, a confirmé à Algérie Part Gérard Lambert.

Ce dernier assure également que le montant de 1,2 million DA évoqué par les responsables de la SARL El Amine Gard “est une invention”.  “Pour le reste tout a été signifié par un huissier qu’ils ont refusé de recevoir et le dossier est entre les mains de mon avocat”, certifie encore notre interlocuteur.

“Le statut de sénateur joue à mon avis 2 rôles dans cette affaire : ils pensent qu’on n’osera pas s’attaquer à lui et, par ailleurs, ils cherchent à l’isoler du problème car je ne suis pas sur qu’un sénateur ait le droit de diriger une entreprise de sécurité”, argue enfin Gérard Lambert qui promet de ne pas se taire devant ce diktat qui donne lieu à une véritable escroquerie.


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