Ould Abbes -Ouyahia

Je t’aime, moi non plus



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A quelques mois de la présidentielle, les politiques se mettent à la mode du running. Djamel Ould Abbes, gêné peut-être par la présence d’Ouyahia dans le champ de course électorale, tente de l’écarter de son chemin et l’accuse de ‘’marchandage’’ du soutien de son parti à la candidature de Bouteflika. Le FLN, longtemps rival farouche du RND, se proclamant la seconde force au pouvoir après le Chef de l’Etat, et qui se considère comme le chef suprême du vieux parti, il espère affaiblir le premier ministre en le mitraillant cette fois-ci par une bombe qui date de 1999.   Le camarade de classe d’Angela Merkel se paie la tête de l’homme des missions impossibles et l’égratigne en riant et l'immole à ses nouveaux caprices. «Je me souviens d’un nouveau venu à la politique qui a dit au candidat Bouteflika combien de portefeuilles ministériels, allait-il donner à son parti en contrepartie de son soutien. Et à Bouteflika de lui répliquer : ça c’est dans les souks El Fellah, moi je ne suis pas venu pour vendre ou acheter, je suis le président de tous les Algériens !», avait lancé, Djamel Ould Abbès aux journalistes qui sont habitués à ses sorties inédites. Et même le défunt Nahnah n’a pas été épargné par ses propos. Opposant proclamé d’Ouyahia, Ould Abbes rêve encore de l’éjecter du soutien présidentiel et pourquoi pas du premier ministère, lui, qui vit toujours dans l’espoir de récupérer ce poste pour le FLN. Ouyahia, conscient du complot qui se dessine dans le cabinet du docteur Ould Abbes, prend ses précautions pour ne pas perdre la bataille et sort le serpent de son trou avec les mains de ses lieutenants. Ainsi, le RND à son rival par le biais d’un communiqué électrifié accuse Djamel Ould Abbes d’Alzheimer, en lui rafraîchissant la mémoire qu’en 1999, c’est Tahar Benbaibéche qui était secrétaire général du RND et c’était lui qui avait conduit les négociations avant de l’écarter du parti et élire monsieur Ahmed Ouyahia à la tête du RND et ce dernier a soutenu la candidature du Moudjahid Abdelaziz Bouteflika, sans contrainte, ni condition depuis 1999, rappelle le communiqué. Accoutumé à la chaleur et au parfum des scandales politiques à la veille de chaque échéance électorale, les dernières accusations d’Ould Abbas contre Ahmed Ouyahia et les réactions de ce dernier via un communiqué pour remettre les pendules à l'heure, ne seront que le début d’une guerre entre les deux frères ennemis à l’option ‘’je t’aime moi, non plus .‘’

 


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