Le ministre de l’Enseignement supérieur et
de la Recherche scientifique semble ne pas reconnaître le Cnes, le
premier syndicat des enseignants du supérieur agréé. En effet, au moment
où ce dernier a déposé une plateforme de revendications auprès de la
tutelle et menace de paralyser l'université algérienne, Tahar Hadjar a
préféré se réunir cette semaine avec le syndicat des enseignants du
supérieur affilié à l'UGTA pour discuter de leurs préoccupations.</p>