LA GUERRE SECRETE DE ‘’CANVAS’’ A VISAGE DE1MOCRATIQUE

La piste de la CIA se précise en Algérie



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Devant le vent de révolution qui secoue l’Algérie, il est impérativement nécessaire de s’interroger sur la main cachée qui dirige ces manifestations qui ont ébloui même les pays les plus démocratiques par leurs bonnes organisations . A l’heure du printemps arabe qui a chassé Hosni Moubarak en Egypte, lynché Kadhafi en Libye, délogé Benali en Tunisie et noyé la Syrie dans le sang, sous le slogan de la « la révolution non violente », l’Algérie, n’est pas un cas isolé. Ce mouvement qui a fait tomber le président serbe en 2000 et Moubarak en 2011, n’était pas une simple coïncidence : décryptage Cette action “non-violence” est l’œuvre du fameux ‘’ CANVAS ‘’ un organisme de la CIA fabriquée pour déloger les gouvernements arabes qui ne partagent pas les mêmes intérêts géopolitiques et économiques avec les USA et l’UE. Une stratégie pour actionner des « Etats de siège », affaiblir les pays et parachuter de nouveaux leaders élus grâce à des processus frauduleux, politiquement téléguidés qui défendent les intérêts étrangers.
 En effet, des spécialistes internationaux révèlent que de nombreux activistes du monde arabe ont été formés par des organisations étrangères et américaines, CANVAS (Center for Applied Non Violent Action and Stratégies) qui n’est autre que l’exhalaison du mouvement serbe OTPOR, une insurrection fabriquée aux USA. La “non-violence” : une stratégie d'action violente et militaire opérationnelle d'ingérence. En 2011, le logo de CANVAS est brandi par les étudiants égyptiens du mouvement du 6 avril qui ont manifesté dans les rues du Caire. Mohamed Adel, ce blogueur égyptien, incarcéré, il reconnaît avoir effectué un stage auprès de cette organisation durant l’été 2009.
Il est connu chez les experts que la “non violence” ou le coup d’Etat à ‘’visage démocratique’’ est une stratégie d’action violente et militaire opérationnelle d’ingérence et de mise en déroute de gouvernements constitutionnels. De la Serbie à la Géorgie en passant par l’Ukraine, le Kirghizstan, l’Egypte, la Libye, le Honduras, le Mexique, le Guatemala, la Colombie et actuellement l’Algérie. Son inventeur M. Gene Sharp affirme que cette “non violence” est une stratégie d’action violente et militaire opérationnelle d’ingérence et de mise en déroute de gouvernements constitutionnels qui sont d’une quelconque manière, en contradiction avec les intérêts géopolitiques et économiques des États-Unis et de l’UE. Une stratégie fonctionnelle et utile pour produire des « Coups d’État » qui conduisent à la remise de l’« État failli» ou de l’« État démembré » entre les mains de « gouvernements de transition », ou élus grâce à des processus frauduleux, politiquement contrôlés par leurs forces armées qui à leur tour répondent devant le  Commando Combatiente (COCOM)  correspondant du Pentagone nord-américain et de l’OTAN (ce qui n’est pas identique mais c’est pareil), afin de les livrer économiquement à la voracité du Fond Monétaire International (FMI) et de la Banque Mondiale (BM). Devant le vent de révolution qui secoua le monde arabe, il est difficile de ne pas s’interroger. La question est de décrypter dans quelle mesure cette concomitance des évènements dans différents pays peut être la résultante d’une opération concertée. Ce qu’on est autorisé à penser sachant que des cadres du mouvement du 6 avril, qui a permis de chasser du pouvoir Hosni Moubarak, ont été formés à ce qu’il convient d’appeler « la révolution non violente ». Et il ne s’agirait pas d’un cas isolé. Il se trouve que de nombreux activistes de pays de l’Est, mais également du monde arabe et même d’Amérique du Sud, ont participé à des séminaires organisés en Serbie par CANVAS. Des médias français influents comme Médiapart ont été infiltrés par des membres de l’organisation mise en place en Serbie par les services secrets américains dans le cadre d’un vaste plan de déstabilisation qui vise un certain nombre de pays, dont l’Algérie. Peu connu du grand public, le Centre pour l’action et les stratégies appliquées non violentes (Canvas, Otpor en serbe) a joué un rôle prépondérant dans les soulèvements qui ont eu lieu au Maghreb et au Moyen-Orient, des soulèvements destructeurs auxquels il a été donné l’appellation commune de «printemps arabe». Médiapart multiplie, étrangement, depuis quelques jours les tribunes dont le contenu tend à montrer une Algérie au bord de l’explosion et apporte son soutien insidieusement aux extrémistes du FIS, instrumentalisés par des ONG étrangères hostiles à l’Algérie, dont plusieurs sont directement liées au Makhzen marocain. Le dernier article en date est signé Rachida El-Azzouzi, une recrue de Canvas qui affirme elle-même avoir pris part à la «révolution» en Egypte après douze ans passés dans la presse quotidienne régionale (française ou égyptienne ?) avant de rejoindre Médiapart . Dans un article cosigné avec le transfuge du Nouvel Observateur René Backmann, cette militante brosse un tableau noir de la situation en Algérie, affirmant que «l’horizon s’assombrit un peu plus pour l’Algérie.

 


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