Tribune. Lettre à ces individus changent de position politique comme ils changent de chemise



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« Je ne suis pas venu monopoliser le patriotisme et la vérité, mais je suis venu en Homme de paix, en Homme d’amour et de concorde. »   Abdelaziz Bouteflika.

Il est bien dit que « Le cœur a ses raisons que la raison ignore », ainsi ces paroles ont pour source d’émanation la raison du cœur qui se situe au cœur de la raison.

Juste pour le dire simplement, la paix est un rêve génial d’une magnifique bonté. Rien, absolument rien, ne justifie l’anarchie, source d’extrêmes violences.

L’équation humaine refoule naturellement la déraison des idées outrancières, parce que le changement exige l’éloignement des extrêmes.

Les impératifs de l’heure sont d’une exigence primordiale, et en  ces circonstances pénibles et douloureuses que traverse l’Algérie, parfois, sans doute, on se demande qui détient la force d’influence néfaste qui a osé la manipulation à outrance, par complicités interposées, pour faire bouger les masses. Et surtout, à qui profite la déstabilisation du champ politique algérien.

Dans ce cas précis, il faut se rendre à l’évidence, que l’œuvre des esprits sataniques porte la signature de ceux qui ne veulent pas du bien à notre Algérie, devenue par la force des influences l’objet de l’ingérence des puissances étrangères.

L’indescriptible malentendu se situe dans l’adoption manifeste d’une attitude négativiste à l’extrême, désespérante à l’excès, qui est en contradiction flagrante avec les principes de la démocratie.

L’icône  vivante de la paix et la concorde

Bouteflika a eu la témérité d’engager la plénitude de sa  volonté de forcer le destin de son pays l’Algérie, embourbé dans la violence infernale du terrorisme barbare.

Artisan de paix, il a fait la promesse d’éteindre le feu de la fitna (discorde), de redonner confiance au citoyen, de redresser le pays et de rendre à l’Algérie la place respectable qui lui revient dans le concert des nations.

En assumant cette démarche Très Honorable pour mobiliser le peuple dans le sens de la noble convergence pour la lutte contre le fléau du terrorisme, comme option vitale de dessiner la paix, la concorde et la réconciliation dans l’espace algérien et de conquérir le droit de rêver l’espérance, le devoir de conjuguer le verbe aimer et vivre dans la dignité.

Il a eu l’idée géniale de préserver l’indépendance de l’Algérie, contre vents et marées, en affichant la magnifique ambition, en parfaite communion avec son peuple, de transcrire en lettres indélébiles les valeurs humaines absolues et infinies de la paix, afin qu’elle devienne un amour d’une intime spiritualité, un idéal à nul autre pareil.

En messager d’amour et de concorde, il a ramené la paix au moment ou cette paix était un impossible rêve.

Ainsi donc, le Président Abdelaziz BOUTEFLIKA est devenu le plus illustre des Algériens que la mémoire citoyenne retiendra à travers la consécration de son œuvre majeure de paix, de concorde et de réconciliation nationale. Il est le dernier grand leader Africain, un géant de l’histoire du siècle.

Le semeur d’amour et de paix est devenu la cible privilégiée des aventuriers politiques, assoiffés de pouvoir, enveloppés sous le voile de la démocratie.

Les simples citoyens de l’Algérie profonde et plurielle savent tant de ses efforts et de ses sacrifices pour faire vivre la paix en notre pays et nous éloigner des extrémismes.

Il faut reconnaitre que le président Bouteflika ne sait rien faire d’autre que servir son pays l’Algérie et, à ce juste titre, il mérite beaucoup plus que des éloges, bien mieux qu’un vibrant hommage.

Le discours des fidèles

Les disciples de Bouteflika sont les Hommes de la BARAKA qui ont eu la témérité de défier la barbarie, ils sont les porteurs du beau rêve algérien.

De la lignée des Hommes intègres, ils ont tout donné, sans jamais rien demander en retour. A travers la conjugaison des efforts et des sacrifices sur le terrain, ils ont le mérite de servir sans desservir, ni se servir, sans chercher à acquérir le pouvoir pour le pouvoir, mais ils veulent, simplement, un pouvoir propre en leur pays.

Ce  sont de simples citoyens, dignes d’exemplarité, qui ont épousé les principes valeureux, d’engagement, de sincérité, de désintéressement, de discipline, de compétence.

Et depuis 1999, ils n’ont jamais déserté le champ de bataille politique, malgré  les aléas du temps l’inconstant et l’ingratitude des hommes sur le chemin, ils se retrouvent, encore, en l’enfer de la traversée du désert des déserts.

Eloignés de l’esprit clanique étriqué, ce sont des incorruptibles qui ne cèdent jamais, au grand jamais, aux chants des sirènes, ni ne sont des amasseurs de richesses, ni des assoiffés de pouvoir.

Ainsi, ils sont devenus les oubliés de la république, exilés dans leur propre pays, parce que victimes des opportunistes  ralliés de la 5ème colonne, à la 25ème heure.

Les premiers impliqués dans la grande marche de la paix et la concorde sont doués d’une haute rectitude qui dérange, encore,  les acteurs bloquants et autres hypocrites, mais ils continuent de croire en le message d’amour et de paix.

Ils  ne regrettent rien de rien, parce que ces simples citoyens amoureux de la paix confirment leur dévouement fidèle à leur Président Bouteflika et lui réaffirment solennellement « Vous n’êtes pas seul Grand frère, on ne vous oublie pas, non, jamais, parce que vous êtes inoubliable, votre œuvre de paix et de concorde est mémorable, elle est le plus beau tatouage que porte chaque citoyen algérien, digne de ce nom, ainsi que de tous les citoyens du monde amoureux de la paix. On n’a pas dévié du chemin de la paix, on ne veut pas changer. Nous portant, encore et toujours, nos rêves et nos amours pour la paix de l’Algérie. Que de belles idées partagées généreusement avec vous. »

On continue notre marche avec vous, sur le chemin de la concorde, sans jamais nous éloigner de nos rêves d’amour et de paix.

Nous résisterons pour faire vivre la paix, même si nous serons battus comme Mahatma GANDHI, ou chassés de notre pays l’Algérie, comme notre Prophète Mahomet a été contraint à l’exil de LAMECQUE, ou crucifiés sur la croix comme Jésus Christ, parce que nous sommes des semeurs d’espoir, d’amour, de paix, de concorde, de pardon, de réconciliation.

Fidèles et dévoués au serment, nous croyons, encore et toujours, en les promesses d’avenir de notre Algérie, sachant que la paix a plus de valeur que toutes les démocraties du monde.

Le comble de la trahison

Certes, les indicateurs sociaux témoignent sur certaines défaillances du facteur humain et ses interférences sur les réalités sociétales dominantes.

La négation des qualités honorables et des valeurs du mérite politique est un signe particulièrement révélateur  que le choix des Hommes est vital pour la bonne gouvernance.

Et pour preuve, l’insoutenable légèreté avec laquelle d’anciens gouvernants-nouveaux opposants prisonniers de leurs complexes s’acharnent à vouloir détruire pour reconstruire et tuer pour faire vivre. La bonne affaire !

Par lâcheté, ces individus changent de position politique comme ils changent de chemise.

Ces gens là représentent tant de cœurs oublieux, gavés par autant d’ingratitudes.

Enfin, les masques sont tombés pour nous faire découvrir le comble de la trahison de ceux qui ont rejoint le camp adverse afin de se refaire une virginité, auprès des meneurs de ce jeu dangereux et leurs suivistes.

Et pour cause, le semeur d’amour et de paix est devenu la cible privilégiée des aventuriers politiques, assoiffés de pouvoir, enveloppés sous le voile de la démocratie.

De l’arbitrage

L’indispensable arbitrage, juste et équitable, exige une neutralité au dessus de tout soupçon et sans exclusion et s’implique par la sagesse de jeter des ponts de compréhension mutuelle afin de rétablir la confiance.

L’entente cordiale est la mise essentielle  afin de sortir la commune patrie des communs citoyens de cette crise indescriptible. Cela dit, chacune des parties –pouvoir-opposition-citoyens contestataires- doit faire des concessions en vue de rapprocher les positions et les visions pour atteindre la finalité d’un consensus global.

L’Algérie dispose d’une pépinière de militants politiques respectueux et respectables, doués d’énergie extraordinaire, capables de faire renaitre la confiance des masses populaires.

Le changement en perspective dépendra de la pertinence de la vision  prospective.

L’anarchie n’est pas bonne conseillère

La manipulation à outrance entamée par des éléments douteux  qui sont devenus des acteurs principaux de l’opposition après avoir été des gouvernants au sein de ce même pouvoir dont ils contestent, en ces jours, la légitimité. Cet acharnement viscéral s’explique par la nostalgie du pouvoir pour le pouvoir.

Il faut dire que le mensonge et la calomnie, la haine et la rancune, ne sont pas dignes de notre Algérianité, ni de notre humanité.

A tort ou à raison, la manipulation est une arme à double tranchant et l’adversité  un champ miné de malheurs.

La réalité nous dicte de prendre pleinement conscience des tenants et des aboutissants de la propagande et de l’agitation dont les auteurs sont nos diviseurs communs.

La cruauté du vide institutionnel engendre, par la force des circonstances, l’anarchie, et il est une haute certitude que l’anarchie est pire que la dictature.

L’anarchie ne présente nullement un programme politique, ni un projet de société et ne constitue en aucun point une alternative politique au système de gouvernance.

La citoyenneté n’a aucun lien avec la bêtise humaine, car cette dernière est porteuse de la négation des valeurs humaines, qui n’est point l’espérance Algérienne.

Conjuguer le vivre ensemble

Les enseignements de l’histoire sont convaincants et invitent à donner impérativement la primauté à la paix, afin de vaincre l’anarchie envahissante.

Nous devons nous éloigner de l’inconscience galopante en donnant la primauté à la sagesse humaine, la compréhension et l’entente cordiale, dans le meilleur sens du choix,  en vue de bien conjuguer le vivre ensemble, car nous n’avons pas une autre patrie de rechange.

Et, dire justement, sans doute, en quelques mots, sans peur, sans reproche et sans regret, il est plus pertinent d’écrire notre histoire du changement, pacifique et non-violent, avec des roses, tout à l’honneur de la commune patrie des communs citoyens.

La sagesse est de mise, car le changement promis se fera dans l’apaisement et la sérénité, il sera consensuel, pacifique et non-violent ou il ne sera pas.

Il y à une ligne de démarcation claire et précise entre la démocratie et l’anarchie. Sans la sécurité et la stabilité il ne peut y avoir de liberté. La paix est le socle solide sur lequel se construit consciencieusement l’avenir de l’Algérie. Et enfin, notre Algérianité est non négociable, parce que notre Algérie n’est pas à vendre.

Par Ali Benatallah, écrivain.


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