Ah que !

«Yes ! Je suis à fond pour le Brexit ! » aurait lancé…

… Sir Tliba à peine arrivé à Londres !

J’avoue que j’ai hésité longtemps avant d’aborder la CHOSE. Je sens bien que certains sujets sont lourdement sensibles ces derniers jours. Je perçois parfaitement le fait que le traitement de ce genre de thèmes peut même me valoir de sacrés problèmes, voire des ennuis de 3e degré, ceux du 1er et du 2e degré les vivant déjà quotidiennement depuis près de 40 ans d’écriture maintenant. A cela, il faut ajouter les voix amies, fraternelles qui m’ont glissé à l’oreille « akh'tik, Hakim ! ». J’ai écouté tout ça ! J’ai écouté et j’ai entendu. Mais à la fin, c’est mon cœur et lui seul qui a réussi à couvrir tout ce vacarme castrateur. Et j’ai fait ce que je fais ici depuis des lustres. J’ai abordé, vaille que vaille, la CHOSE, ce sujet qui, je le sais, va fâcher grand monde, et me fâcher avec encore plus de monde. Que voulez-vous moi, je suis comme ça, ne m’en voulez pas (salut Khaled !). Alors oui ! Je le dis, l’écris ici noir sur blanc, ou plutôt sur fond bleu « comment rester de marbre devant l’information maintenant confirmée de Laetitia Hallyday qui se serait remise en couple, moins de deux ans après le décès de Johnny ? » Oui, comment  s’interdire  un avis ? Attention ! Je ne condamne pas ! Je pose juste la question. La tombe du rocker à Saint-Barth est encore chaude des larmes de ses fans, dont je suis. Mais, en même temps, on ne peut pas juger une femme qui a ce droit légitime et humain de refaire sa vie. D’ailleurs, vous remarquerez que d’un veuf qui se remet en ménage, on dit « c’est normal, radjel ! Il ne peut pas rester vivre seul». Mais d’une femme, on lâche tout de suite « la garce ! Elle n’a pas attendu longtemps ». Loin de la moralisation stupide, encore plus loin de l’invective, il nous faut tous participer de ce débat-là de manière apaisée, sans porter de coup au moral du clan Laetitia ou du clan de Laura et David. Quitte à nous mettre en danger. Ça gêne  de  parler de la nouvelle vie de Laetitia Hallyday ? Eh bien tant pis ! Que ceux que ça gêne fument du thé et restent éveillés à leur cauchemar qui continue.
H. L.