Présidentielle du 12 décembre

paroles de candidats au 13ème jour de la campagne électorale



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Lors du 12ème jour de la campagne électorale, les cinq candidats ont eu à traiter des sujets en rapport à la refonte de l’école et la Constitution, aux libertés et à l’économique. Voici des expressions marquantes tirées vendredi des interventions des candidats à l'élection présidentielle du 12 décembre, au 13e jour de la campagne électorale. Abdelaziz Belaïd de M'sila : "Je m'engage, si je serais élu président, à réviser l'ensemble des lois relatives à l'enseignement et aux méthodes éducatives, et à mettre en place un programme répondant aux aspirations du peuple qui permette à l'enseignant et à l'élève de reprendre leur véritable place". Azzedine Mihoubi à Souk Ahras :  "Je m'engage à procéder à une réforme de la Constitution qui consolide les institutions de l'Etat". "La décision appartient désormais au peuple et toute décision concernant son destin passera par une consultation populaire, une démarche qui se concrétisera à travers une Constitution solide qui protège les institutions de l'Etat de toute crise politique". Abdelkader Bengrina à El-Eulma (Sétif) : "L'Algérie réserve une place à tous ses enfants. Les Algériens sont libres quant à leur choix de voter ou pas. L'urne sera le dernier arbitre".  "La liberté signifie exprimer sa voix, mais sans toutefois s'en prendre à ceux qui n'adhèrent pas à cette démarche". Azzeddine Mihoubi à Annaba : "J'œuvrerai à protéger le complexe sidérurgique d'El Hadjar et ses employés non seulement par l'affectation de fonds mais à travers un plan de développement des moyens de production lui permettant d'atteindre et d'augmenter progressivement sa véritable capacité de production, tout en introduisant des technologies de pointe dans la gestion". Abdelaziz Belaïd depuis Sétif : "Je m'engage pour la mise en place d'une banque nationale des semences pour permettre au produit national de retrouver sa qualité d'antan et mettre fin à l'importation des semences". "L'Algérie qui dans le passé était un stock de semences pour les pays européens, est devenue aujourd'hui otage de laboratoires d'où elle importe du poison sous forme de semences". NationalPolitique


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