Les deux morpions



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Par Abdelkader S. – Les agitateurs habituels sur les réseaux sociaux ont tout fait pour empêcher le Mouvement de contestation populaire d’aboutir à ses revendications légitimes de changement de système et d’instauration d’un nouveau mode de gouvernance. Ces parasites, notamment le boulanger de Londres Larbi Zitout et l’ancien chouchou du colonel Fawzi, Hichem Aboud, maintiennent la pression pour pousser au pourrissement de la situation dans le pays. Ces deux prostituées sont mandatées par leurs maquereaux tapis dans l’ombre pour faire barrage à toute solution à la crise qui secoue l’Algérie et qui, si elle perdurait, conduirait le pays à sa ruine.

Le but des mentors de ces instigateurs du chaos est clair : livrer l’Algérie aux puissances qui ne sont pas arrivées à trouver la faille pour faire basculer le pays dans la violence, comme ils l’avaient fait dans les années 1990, lorsque les terroristes de l’AIS, dont se proclame ouvertement l’hyperactif Zitout à partir de la capitale de l’Internationale sioniste, avaient pris les armes pour imposer un régime théocratique par le glaive après que le plan de François Mitterrand de placer le FIS au pouvoir eut lamentablement échoué.

Pour sa part, Hichem Aboud, dont le financement occulte par les Saoudiens a été révélé par de nombreuses sources, persévère dans sa perfidie drapée dans un nationalisme frelaté. Cet ancien directeur d’une paire de journaux créés avec l’aide de son protecteur du DRS, le colonel Fawzi, qui sera éjecté après qu’Algeriepatriotique a révélé la «caverne d’Ali Baba» qu’est l’Anep et de laquelle le narcissique installé à Lille a puisé pour construire son «mini-empire» médiatique qui s’est écroulé comme un château de cartes dès que son proxénète a été dégommé. Ce dernier, dans un dernier sursaut pour sauver son agent, l’aidera néanmoins à fuir clandestinement par le poste frontalier de Bouchebka.

C’est cette rancœur que l’ancien scribouillard des services secrets, arrogant et mégalomane, porte dans ses germes et dont il n’arrive pas à se défaire. Cette haine il la partage avec son acolyte de Londres qui ne pardonne pas à ses supérieurs de ne l’avoir pas fait participer au partage du gâteau, c’est-à-dire à la répartition des postes diplomatiques prestigieux. Lui, le petit administrateur détaché à l’ambassade d’Algérie à Tripoli où il se morfondait dans ce pays si monotone sous Kadhafi que même un sirocco peinait à faire se soulever une brindille.

Larbi Zitout et Hichem Aboud ont trouvé leur salut dans leur monologue devant une caméra de téléphone portable, débitant leurs soliloques à un rythme effréné et faisant jouer les algorithmes pour faire croire à une forte audience. Mais, comme dit le proverbe, qui pisse contre le vent, mouille sa chemise.

A. S.

 


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