DE L’ILLICITE DANS LES ZONES D’OMBRES A MASCARA

La commune d’Ain Farah, un exemple frappant



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La commune d’Ain Farah se trouve à la limite de la frontière avec la wilaya de Tiaret  en bordure des monts de Timixi, une zone qui a connu les affres de la décennie noire et qui continue à  souffrir d’une certaine bureaucratie. Un ensemble de citoyens profitent  de la situation du pays et s’adonnent ouvertement à la construction illicite des habitations, ne respectant point les rues et ce, devant le silence complice des élus de la localité et ce, malgré que des arrêtés de démolition existent mais ne sont pas appliqués. Les lois de la construction sont claires, mais demeurent ignorées au niveau de la Commune de Ain Farah disent les citoyens. Plusieurs doléances furent adressées aux autorités locales de Daïra et APC, restées toutes lettres mortes, alors que les constructions illicites poussent comme des champignons. Le village s’est transformé en un simple douar sans le moindre signe urbanistique qui doit exister  dans un village ou du moins dans un hameau disait H. Mohamed. Devant cet état de fait, les habitants de cette localité lancent un appel au wali pour dépêcher une commission et prendre les décisions qui s’imposent. La Commune d’Ain Farah qui commence à lever la tête avec la construction du Barrage d’Oued Thât, qui manque de développement est une zone d’ombre qui mérite d’être incluse dans les programmes concernant les zones d’ombres.        


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