La coalition « One Free Press » qui dénonce chaque mois les atteintes les plus graves aux libertés de la presse dans le monde, vient de publier la liste d'une dizaine de cas les plus graves à travers le monde pour le mois d'août.
Aucun cas algérien n'est cité par la coalition.
La coalition One Free Press réunit des éditeurs du monde entier qui mettent en exergue les atteintes à la liberté des journalistes et ceux qui sont poursuivis en justice ou ont été assassinés.
La coalition a publié cette fois la liste des 10 cas les plus graves. Par cette action commune, la coalition entend mettre en valeur le courage des journalistes dont les voix sont réduites au silence.
Pour le mois d'aout 2020, la coalition a publié une liste des dix cas les plus graves de journalistes emprisonnés ou qui ont mystérieusement disparus à l'image du journaliste américain Austin Tie disparu en Syrie.
La liste comprend d'autres journalistes de plusieurs nationalités notamment le journaliste marocain Omar Radi emprisonné injustement par le royaume chérifien depuis le 29 juillet dernier.
Il est à souligner que l'Algérie n'a jamais figuré dans le rapport mensuel de la coalition « One Free Press » qui dénonce les atteintes à la liberté de la presse en dépit des accusations de certaines ONG, contre les autorités algériennes.