Vies humaines et intérêts économiques



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Par Dr Bachir Chara(*)
Deuxième partie : les pandémies  
En 1981, apparaît la pandémie du virus du sida. Si les premiers cas ont été enregistrés à Los Angeles (États-Unis), cette maladie s’est très vite répandue dans le monde, avant que la trithérapie et les mesures d’hygiène ne freinent son évolution, particulièrement dans les pays riches. Par contre, dans les pays pauvres, notamment en Afrique, elle continue de faire des ravages. 
Le défunt président du Zimbabwe, Robert Mugabé, n’avait-il pas accusé les pays occidentaux, les États-Unis en tête, de vouloir décimer les peuples d’Afrique ? 
En effet, ce sont les populations d’Afrique noire qui sont les plus touchées par cette pandémie ; ce qui est d’ailleurs le produit de leur ignorance et de leur fatalisme. Les recherches de vaccin, qui ont déjà englouti des milliards de dollars, se sont révélées toutes infructueuses jusqu’à maintenant. Même si le virus du sida, ou VIH, a été identifié par l’équipe de recherche du professeur Luc Montagnier en 1983 et que les premiers cas ont été enregistrés en Amérique du Nord, de nombreuses études font remonter l’existence du VIH au début du siècle dernier, 1900 (Courrier international, «Santé : le virus du sida est apparu dans les années 1900 au Cameroun», 08/10/2014) et lui donner une appartenance africaine et une descendance affiliée à un primate. S’agit-il encore là de subterfuges afin d’éloigner les soupçons liés à une création humaine ? Malheureusement, les scientifiques capables de démystifier de telles affirmations se retrouvent de l’autre côté de la barrière. Ce qui est, toutefois étrange, c’est la coïncidence qui existe entre la déclaration de Robert Strange McNamara et l’apparition de cette maladie virale. Avec cette pandémie est apparu concomitamment le virus Ebola en Afrique où il fait également des ravages depuis la fin des années 1970.
En 2009, le Fonds des Nations unies pour la population (UNFPA) avait affirmé, dans son rapport sur l’état de la population mondiale, présenté lors de la conférence de Copenhague, le 18 novembre 2009, que le réchauffement planétaire ne peut être endigué que par une réduction massive de la population mondiale. Au même moment, une ONG britannique (OPT), militant pour la réduction de la population mondiale, estimait qu’il fallait la réduire de 500 millions d’individus d’ici 2050 (Audrey Garric, blog éco journal le Monde, 18 janvier 2010) pour maintenir une population mondiale de 6 milliards d’habitants. Mais comme les prévisions pour 2050 sont de 9,7 milliards d’êtres humains, il faudrait donc réduire la population mondiale de plus de 3 milliards 700 millions d’êtres humains, chose qui est hypothétique et non réalisable eu égard aux avancées considérables de la médecine à travers le monde. Ces allégations ne constituaient-elles pas un prélude à une dissémination de la population mondiale par pandémie interposée ? Ce qui arrive actuellement, avec la pandémie de coronavirus, ou Covid-19, plaide dans ce sens. Si on se réfère à ce qui s’était dit et écrit auparavant, on constate qu’une telle pandémie était prévue. 
Dans son livre Et après ? publié chez Fayard, Hubert Védrine, ex-ministre français des Affaires étrangères, avoue qu’ils étaient prévenus et qu’ils savaient ce qui pourrait arriver. Tout en disant qu’«il n’est pire ignorant que celui qui ne veut pas savoir», il affirme qu’ils savaient que «l’émergence d’une maladie respiratoire humaine hautement transmissible et pour laquelle il n’y aurait pas de contre-mesure adéquate pourrait déclencher une pandémie mondiale […]. Elle apparaîtra sûrement dans une zone densément peuplée où les animaux et les hommes vivent à proximité les uns des autres, comme en Chine ou en Asie du Sud-Est (…). 
Dans un tel scénario, une capacité de surveillance sanitaire insuffisante au sein de la nation d’origine empêcherait probablement une identification précoce de la maladie. La lenteur de la réaction  de la santé publique retarderait la prise de conscience  de l’émergence d’un agent pathogène hautement transmissible (…). 
Malgré les limites imposées aux voyages internationaux, des voyageurs présentant des symptômes bénins ou asymptomatiques pourraient transporter la maladie vers d’autres continents». Cet extrait a été tiré par Robert Védrine «des tendances globales du Centre d’analyse prévisionnel de la CIA pour 2025». Dans le même livre, il fait remarquer qu’après 2014, année marquée par l’épidémie d’Ebola en Afrique centrale et de l’Ouest, Bill Gates avait averti que «si quelque chose tue plus de 10 millions de personnes dans les prochaines décennies, ce sera plus probablement un virus hautement contagieux qu’une guerre. Et l’humanité n’est pas préparée à y faire face». En outre, Hubert Védrine signale également que le risque pandémique figurait en bonne place, en 2015, dans la Revue stratégique de sécurité nationale  britannique, comme dans le Livre blanc allemand en 2016. Ces avertissements viennent en complément à la déclaration de McNamara qu’il fallait, comme souligné plus haut, réduire la population mondiale. Quand on constate que les  chercheurs britanniques Erika Bickerton, Sarah M. Keep et Paul Britton, de Pirbrigt Institute sont ceux qui travaillent, en collaboration avec l’Université d’Oxford, sur un coronavirus animal, virus de la bronchite infectieuse aviaire dont ils sont les dépositaires du brevet coronavirus, et que leur institut de recherche dit clairement, dans un communiqué du 24 janvier 2020, qu’il ne travaillait pas, à ce moment-là, sur des coronavirus humains (Assma Maad, journal le Monde, 6 février 2020), tournure de phrase qui pourrait signifier que des travaux sur le coronavirus humain se faisaient antérieurement dans cet institut. Et lorsqu’on constate la concomitance entre ces avertissements et le déroulement de certains évènements comme par exemple la récente annonce de l’Université d’Oxford, avec laquelle travaillent, en collaboration, les chercheurs de Pirbrigt Institute, qu’elle est en phase de fabriquer 400 millions de doses du vaccin contre le Covid-19, qui sera très prochainement mis en circulation, du fait que les tests sur les êtres humains se sont révélés concluants, on ne peut que s’interroger sur l’origine du virus, qui a causé cette pandémie du Covid-19. 
Le président américain Donald Trump le qualifie de virus chinois, eu égard aux premiers cas enregistrés dans la ville chinoise de Wuhan où se sont déroulés, avant le déclenchement de la maladie du Covid-19, les Jeux mondiaux militaires d’été du 18 au 27 octobre 2019. Les leaders de certains pays occidentaux se sont vite ralliés à sa thèse en demandant une commission d’enquête internationale. Cette attitude pourrait signifier que le coronavirus est un virus de laboratoire et non naturel, ce qui a créé une grande polémique entre scientifiques. 
Même des prix Nobel, à l’instar du professeur Luc Montagnier, se sont rangés dans le groupe qui défendait la thèse de virus de laboratoire en montrant du doigt la Chine et son laboratoire P4 de l’institut de virologie de Wuhan. Même si le virus est sorti du laboratoire de Wuhan, la France ne peut être épargnée en raison de sa collaboration étroite dans le fonctionnement de cet institut chinois de virologie. 
Quelques scientifiques français affirment même que le coronavirus est une création française dont elle détient les brevets et qu’elle l’a transféré à l’institut de virologie de Wuhan. Les profanes que nous sommes se retrouvent désarçonnés par rapport à ces allégations et surtout quand on voit la course effrénée des laboratoires occidentaux pour la fabrication du vaccin, avec les coups bas qu’ils s’échangent par les spécialistes de la santé interposés, qui, normalement, devaient se mettre du côté de leurs malades en respect du serment d’Hippocrate. 
De nombreuses voix de scientifiques sincères se sont d’ailleurs élevées, ces derniers temps, pour dire que la gestion de la pandémie par certains gouvernements des pays occidentaux, à leur tête les États-Unis ainsi que le Brésil, est empreinte d’intérêts économiques majeurs, en faisant même jouer la corruption des scientifiques, pour s’attaquer à une thérapie, qui a fait ses preuves dans le traitement du Covid-19. Un État occidental a même interdit à ses médecins de prescrire aux malades du Covid-19 cette thérapie.   
Pour l’heure, aucune conclusion sûre ne peut être tirée, quant à la responsabilité de la partie qui, dans le cas d’une préméditation, a commandité cette pandémie, qui fait des ravages, surtout au sein des communautés des séniors, dans le monde. 
En effet, la grande majorité des personnes qui décèdent du Covid-19 sont celles dont l’âge dépasse les soixante-six ans. Certains diront que cela est dû au fait qu’il y a des choix à faire quand les moyens disponibles au niveau des hôpitaux ne peuvent satisfaire la prise en charge, en réanimation, de la totalité des malades. Dans un tel cas, les médecins sont amenés à faire des choix, parfois difficiles, et privilégient d’affecter le matériel médical (respirateurs) aux jeunes au détriment des vieux. C’est ce qui a été constaté dans certains pays occidentaux.
 En outre, les personnes âgées des EHPAD n’avaient pas reçu toute l’attention qu’il fallait de la part des pouvoirs publics, ce qui a d’ailleurs conduit à une hécatombe au sein de cette frange des populations occidentales.
Est-ce que cette manière d’opérer répond à une cause humaniste ou bien à un intérêt économique ? La crise économique qui secoue certains pays occidentaux a incité les dirigeants de ces pays, par calcul économique, en raison du vieillissement de leur population, et afin de réduire les charges sociales, très lourdes sur les budgets des Etats, vu que les cotisations des personnels actifs n’arrivent plus à couvrir les coûts élevés de la prise en charge des besoins sociaux, notamment les pensions de retraites des seniors, du fait que les caisses de sécurité sociale sont déficitaires et qu’elles font appel aux subventions des États, à avoir une attitude passive quant aux soins à prodiguer aux séniors. En quelque sorte, ils ont sacrifié les vieux au profit des jeunes pour sauver la force de travail. Les attitudes affichées par le président américain, le Premier ministre britannique et le président brésilien, vis-à-vis de cette pandémie de Covid-19, ne sont-elles pas révélatrices d’une certaine légèreté politique ? Ou avaient-elles des objectifs inavoués ? Le constat qui peut être fait, c’est que ce sont les personnes les plus défavorisées qui font les frais de la politique adoptée par les pays occidentaux, les États-Unis et le Brésil en tête. Ce sont les habitants des favelas qui sont le plus touchés au Brésil, à cause de la promiscuité qui caractérise ces milieux et les faibles moyens dont disposent les populations qui y habitent. 
Aux États-Unis, c’est également les populations les plus vulnérables qui payent l’addition, car les nantis disposent des moyens financiers et des commodités de vie qui les éloignent des cercles de contamination. 
Les positions des présidents Trump et Bolsonaro, par rapport à la pandémie de Covid-19, sont plus qu’étonnantes et prêtent à équivoque. En effet, au moment où tous les pays affectés par le coronavirus ont adopté des mesures de confinement que nécessite une telle situation pandémique, ces deux responsables politiques s’insurgeaient pour dire que ce n’était pas nécessaire et qu’il fallait dé-confiner pour redresser la situation économique. Sachant pertinemment que ce seront les classes pauvres qui iront les premières au mouroir par nécessité de survie. 
Cela a d’ailleurs créé des mouvements de contestation revendiquant le déconfinement, ce qui s’est traduit par une augmentation exponentielle des cas de contamination et de mortalité. Aux États-Unis, les populations les plus touchées par la Covid-19 sont les Afro-Américains et, à un degré moindre, les Hispaniques  et les Amérindiens. Même si Donald Trump reconnaît les disparités et voudrait leur trouver des solutions, on est en droit de se poser la question, à savoir : est-ce que les positions prises par Donald Trump et Jair Bolsonaro, par rapport au coronavirus, ne sont pas ségrégationnistes ?
Ce qui est plus grave, c’est les informations qui circulent sur la Toile relatives au vaccin contre le coronavirus que finance Bill Gates, propriétaire de Microsoft, à travers la fondation Bill et Melinda Gates, qu’il veut faire tester sur les Africains ; prenant les habitants de ce continent pour des cobayes, alors que les pays les plus touchés par la pandémie sont les Etats-Unis d’Amérique, son propre pays et le Brésil, pays de Jair Bolsonaro. Ne sommes-nous pas là dans la situation de l’arroseur arrosé ? Ce qu’affirment certains scientifiques qui demandent aux Africains de ne pas utiliser le vaccin à l’instar du professeur français Didier Raoult. 
Est-ce qu’il s’agit là de fake news, diffusées par les anti-vaccins, ou encore une autre manière de réduire la population mondiale par pandémie interposée et si cela est l’objectif, on choisit l’Afrique pour cet acte criminel ? Quand on voit que Bill Gates, lui qui avait averti, depuis longtemps, que «si quelque chose tue plus de 10 millions de personnes dans les prochaines décennies, ce sera plus probablement un virus hautement contagieux qu’une guerre. Et l’humanité n’est pas préparée à y faire face». 

En intervenant actuellement dans le financement de la majorité des recherches du vaccin contre la Covid-19 et sa mainmise sur les décisions de l’OMS, dont il finance une partie de son fonctionnement, on ne peut qu’être sceptique quant au vaccin qui sera produit et la sincérité ainsi que les recommandations de l’OMS, qui relève des Nations unies et dont le financement devait être assuré par les États membres de cette organisation planétaire et non par de richissimes personnes. Sous le prétexte que faire des autopsies sur des cadavres atteints de Covid-19 était dangereux, l’OMS avait recommandé à tous les pays membres de ne pas en faire. Cela a duré quelque temps avant que des médecins légistes italiens prennent le risque de le faire sur plusieurs cadavres et découvrir que leur mort a été provoquée par des thromboses, causées par une bactérie intestinale stimulée par le coronavirus. C’est ces thromboses qui empêchent la circulation du sang dans le corps, et par conséquent, le transport de l’oxygène vers les organes vitaux et provoquent des arrêts cardiaques, entre autres. Ce n’est ni la chloroquine ni l’azithromycine qui sont responsables des arrêts cardiaques des personnes atteintes de la Covid-19. 
Une autre question vient à l’esprit : pourquoi l’OMS avait recommandé de ne pas faire des autopsies ? Est-ce que cette organisation est devenue un instrument entre les mains d’un lobby mafieux dont les membres cherchent à se remplir les poches même si cela passe par l’élimination d’une grande partie de la population mondiale ? Tout porte à le croire, car des êtres humains, sans aucune moralité, ont toujours cherché à devenir de plus en plus puissants et gouverner ce monde même en passant sur les corps de la majorité de la population mondiale et monsieur Bill Gates semble faire partie de cela, même s’il prétend le contraire en faisant croire qu’il vient au secours des plus démunis. Ce sont ces hommes, qui détiennent de nos jours la majorité des actions des grandes firmes de production pharmaceutique, qui dictent leurs lois par corruption de certains praticiens, décideurs et organisations internationales. Le plus étonnant encore, c’est de voir l’OMS mettre en doute la fiabilité d’un vaccin produit par la Russie. On se demande quelle aurait été sa réaction si le vaccin avait été l’œuvre d’une entreprise américaine, anglaise, française, allemande ou japonaise ? L’OMS obéit donc à ces producteurs occidentaux de médicaments et de vaccins qui cherchent à gagner du temps pour arriver les premiers, avec leurs vaccins sur le marché mondial, afin d’engranger le jackpot, qui se chiffre en milliers de milliards de dollars. 
De toute manière, la protection de l’homme n’a, à aucun moment, été le souci des pays occidentaux, qui ont fait fortune en spoliant les richesses des pays qu’ils ont colonisés. Ils ont débauché également les grands cerveaux de ce monde pour asseoir leur suprématie et s’opposent aujourd’hui à toute initiative qu’un autre pays voudrait mettre en œuvre pour renforcer sa sécurité. En outre, ils se positionnent comme les gouvernants de ce monde et rien ne peut se concrétiser sans leur aval. Ils utilisent leurs instruments, qui ne sont autres que les organisations relevant des Nations unies, notamment le Conseil de sécurité de cette organisation planétaire, au sein duquel ils sont majoritaires, tout en détenant le droit de veto. Ils peuvent, par le truchement des fluctuations de leurs monnaies et l’inondation des marchés internationaux par leurs réserves de produits, mettre en faillite, quand cela les dérange, n’importe quel État de la planète. Ils prêchent la démocratie, mais en réalité, ils appliquent un diktat sur les autres pays de la planète. Leur dernière trouvaille l’embargo ; ils se solidarisent entre eux pour mettre à genoux un pays qui se rebelle en l’empêchant même de vendre ses produits ou de s’approvisionner chez un autre pays qui n’est pas membre du clan. 
Ces derniers sont toujours solidaires entre eux et ne dévoilent jamais leurs secrets. Les mois à venir vont certainement faire émerger la vérité, mais ce sera trop tard, car il y aura eu, très certainement, d’énormes dégâts sur la population mondiale, particulièrement celle se trouvant dans les pays pauvres, notamment l’Afrique. 
À ce moment-là, les entreprises pharmaceutiques auront épongé les milliards de dollars que procurera la commercialisation d’un vaccin dont les résultats peuvent être incertains, comme cela a été le cas de celui de la grippe aviaire.  Les pays riches veulent-ils dépeupler ce continent, le plus vaste du monde, avec une superficie de 30 370 000 km², superficie qui englobe celles de la Chine (9 597 000 km²), de l’Europe (10 180 000 km²) et des Etats-Unis (9 834 000 km²) réunis, avec une population presque deux fois moins importante, 1 216 000 000 d’habitants pour l’Afrique, contre 2 160 000 000 pour la Chine, l’Europe et les États-Unis ? En plus de l’étendue de son territoire, l’Afrique renferme d’énormes richesses minières, sylvicoles, agricoles et halieutiques qui attisent, depuis longtemps déjà, les convoitises des boulimistes de ce monde. Moralité, des pays comme le nôtre, qui ont de tout temps été les dindons de la farce, du fait qu’ils agissent dans la précipitation pour se doter des médicaments et des vaccins qui leur reviennent les yeux de la tête, sans pour autant être 100% sûrs de leur efficacité et de leur innocuité, doivent investir dans l’homme, seul à même de relever, demain, les défis scientifiques pour doter leurs populations de produits pharmaceutiques et de vaccins de qualité. Cela devra concerner toutes les activités liées à la sécurité des nations (territoriale, alimentaire et  sanitaire). 
B. C.

(*) Ex-vice-président de l’Assemblée populaire nationale. Ex-président de la Commission permanente de l’agriculture, de l’environnement et des ressources naturelles du Parlement panafricain. 


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