À la question de savoir pourquoi il a accepté de diriger la campagne pour le 5e mandat

il a répondu, « mon éducation m’interdit de dire non »



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L’ancien Premier ministre Abdelmalek Sellal a été appelé à la barre hier, dans le cadre du procès de l’homme d’affaires Ali Haddad. Interrogé sur sa désignation pour diriger la campagne pour le cinquième mandat, Sellal a répondu : « je n’ai pas pu dire non car mon éducation me l’interdit».

« Lorsque Bouteflika m’a contacté pour diriger la campagne électorale pour le cinquième mandat, je n’ai pas pu décliner sa demande. Pourtant, je savais que le pays partait à la dérive», a-t-il répondu au juge.

Répondant à l’accusation de financement occulte de cette campagne électorale, l’ancien Premier ministre a dit que « ce n’était pas la première fois que je menais une campagne électorale. J’ai posé comme condition de me tienne éloigné des questions de financement ».

L’ancien Premier ministre n’a pas manqué de faire de l’audience d’hier un véritable one-man-show, notamment à travers l’anecdote racontée sur sa rencontre avec Barak Obama où encore sa volonté de participer à la campagne du referendum du 1er novembre prochain.

Tags: A LA UNE, Justice


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