Le président Tebboune a eu une phrase pour le moins très éloquente en juin dernier dans un journal français sur cette question névralgique. «L’Algérie demeurera un Etat social, malgré la réforme de la politique de subvention.»
Le Premier ministre, ministre des Finances, Aïmene Benabderrahmane, a levé un coin de voile, jeudi dernier à l’APN, sur l’épineux dossier relatif au système de réforme des subventions sociales en Algérie.
Il annoncera, à l’occasion du vote du plan d’action du gouvernement, que cette réforme se fera à travers «le passage au virement au profit des familles nécessiteuses qui bénéficieront d’un revenu supplémentaire comme indemnisation de la hausse des prix». Les quelques récentes déclarations officielles à ce sujet évoquent l’échéance de la fin de l’année en cours pour sa mise en œuvre.
Le président Tebboune a eu une phrase pour le moins très éloquente en juin dernier dans un journal français sur cette question névralgique. «L’Algérie demeurera un Etat social, malgré la réforme de la politique de subvention», a-t-il cru utile de préciser.