Dans le nord du Niger, nuit de fête nomade au son des guitares électriques
“La guitare là, c’est trop joyeux !” Oumar Alassane, le bras sur l’épaule d’un ami, est assis sur sa moto à une dizaine de mètres de la scène : il est 20h, ce n’est que le début d’une longue soirée de concert dans le désert nigérien.