La problématique des langues refait encore une fois surface à la suite des récentes instructions données par quelques départements ministériels pour la généralisation de l’utilisation de la langue arabe. Après les notes internes de trois ministères, ce sont certains établissements hospitaliers qui se mettent de la partie.
Le responsable de l’un d’eux a instruit les médecins y exerçant de ne rédiger les prescriptions médicales qu’en langue arabe. Bien que ce ne soit pas mentionné dans ces documents, c’est l’usage du français qui est ciblé, comme l’affirment clairement les cercles qui s’en félicitent.
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