Le Pacte pour l’alternative démocratique (PAD), regroupant des partis et des associations, s’élève contre la répression qui s’abat toujours sur les militants politiques et les défenseurs des droits humains et exige la libération des détenus d’opinion.
Dans une déclaration sanctionnant sa dernière réunion, qui s’est tenue le 13 novembre courant au siège du Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD), le PAD qualifie d’«intolérables» les atteintes graves aux libertés et les conditions de vie effroyables de l’immense majorité des Algériens.
Les membres du PAD dénoncent «l’instrumentalisation de la justice» et affirment «l’exigence de l’abrogation de toutes les lois liberticides et plus particulièrement l’article 87 bis du code pénal».
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