La campagne électorale bat son plein sur les réseaux sociaux



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Pour les partis qui misent sur les réseaux sociaux, force est de reconnaître que les stratégies manquent cruellement d’originalité.

Les plateformes des réseaux sociaux sont devenues les incontournables relais sur lesquels se basent les partis politiques pour mener leur campagne électorale des locales du 27 novembre. Pour les partis qui misent sur les réseaux sociaux, force est de reconnaître que les stratégies manquent cruellement d’originalité : point de séances de questions-réponses et des rassemblements en ligne, ni de spots publicitaires.

Ce qui est nommé «campagne» se limite le plus souvent aux affiches qui sont placardées sur les murs virtuels de l’espace bleu. Les vidéos des meetings sont également postées afin d’atteindre le plus de personnes. La majorité des partis en lice pour les locales estiment qu’il est essentiel de s’inscrire dans «l’air du temps».

«le FLN s’appuie sur tous les moyens qui s’offrent à lui pour faire parvenir ses positions et s’adresser directement aux citoyens et d’atteindre un maximum de personnes», nous dit ainsi Nadir Boulegroun, responsable de communication du Front de libération nationale, qui estime que l’exploitation, par les candidats, des réseaux sociaux est un «impératif numérique imposé par les technologies et la généralisation de l’usage de ces réseaux».

«Les réseaux sociaux peuvent être plus efficaces pour atteindre l’électeur, qui peut ainsi commenter nos actions positivement ou négativement. Sur les médias traditionnels, les partis ont un temps de parole limité», souligne-t-il.

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